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Créé le : 19/12/2007 16:40
Modifié : 08/01/2008 14:19

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[ CIREA pour tous ] [ DISCOURS DU SG ] [ LES TYPES DE MEMBRES ] [ DISCOURS DU PCA ] [ HYMNE du CIREA ] [ PENSEES ]

Monsieur TEGUIN Alphonse Privat PCA du C.I.R.E.A

08/01/2008 14:19

Monsieur TEGUIN  Alphonse  Privat  PCA  du C.I.R.E.A


Excellences Messieurs les Ambassadeurs, Honorables invités, tout rang et tout ordre respectés et honorés, Mesdames, Messieurs, Chers frères du C.I.R.E.A, A toutes et à tous, Par ma voix le C.I.R.E.A vous souhaite la bienvenue. Au nom du C.I.R.E.A et en mon nom personnel, je voudrais vous dire merci, d’avoir accepté d’effectuer le déplacement pour honorer de votre présence effective, cette cérémonie. Permettez-moi honorables invités de ne pas faillir à ce devoir de dire merci à l’initiateur du dialogue direct qui nous permet aujourd’hui de procéder au lancement officiel de nos activités. Excellence, Monsieur le Président votre modestie dusse en souffrir, je voudrais saluer à sa juste valeur l’acte historique et hautement salutaire que vous venez de poser à travers le dialogue direct, acte de courage et d’homme d’Etat averti certes, mais surtout acte d’abnégation, de don de soi et d’esprit de sacrifice qui privilégie en toute circonstance le bonheur de son peuple. Le C.I.R.E.A groupement d’intérêt économique dont les activités ne peuvent prospérer qu’en période de paix par ma voix vous dit infiniment merci. J’associe à ces remerciements Monsieur le Premier Ministre qui a bien voulu accepter le dialogue à lui proposer par Monsieur le Chef de l’Etat. Merci à tous ceux qui de loin ou de près ont permis à ce dialogue d’aboutir, à savoir son Excellence, Monsieur Blaise COMPAORE Président du Burkina Faso, ainsi qu’à la communauté internationale dont la présence à nos côtés a été durant ces moments difficiles, un élément catalyseur de la paix. Je voudrais également associer à ces remerciements Messieurs les Ambassadeurs et toutes les éminentes personnalités qui, malgré les lourdes tâches qui sont les leurs ont accepté d’effectuer le déplacement de ce jour pour voir, entendre et partager avec nous cet espoir d’une Côte d’Ivoire nouvelle que dis-je d’une Afrique nouvelle c’est-à-dire digne, unie et prospère. Depuis la nuit des temps coloniaux, l’Afrique souffre. Toutes les théories politiques ou philosophies religieuses tendant à apaiser nos souffrances ne suffiront jamais à créer les conditions idéales de vie si elles n’aboutissent pas à un pragmatisme nécessaire et inévitable inhérent à nos réalités quotidiennes. Hier, l’Afrique a acquis son indépendance au prix de mille efforts dans la douleur et la violence. Aujourd’hui plusieurs décennies après nos indépendances nous nous trouvons face à des répressions violentes, des tueries, des guerres fratricides. L’Afrique est constamment dans la tourmente, dans la douleur, la souffrance, la misère et la désolation. De 1960 à nos jours que pouvons-nous retenir de notre chère Afrique. Est-ce une erreur de choix pour sortir l’Afrique du sous développement ? N’avons-nous pas la maturité requise pour conduire nos propres affaires ? Sommes-nous nos propres bourreaux ? Ou d’innocentes victimes tout simplement ? Que faut-il faire pour sortir de cette léthargie ? Est-ce réellement impossible de refuser cet afropéssimisme qui nous détruit et représente un véritable danger ? Que devons-nous faire aujourd’hui ? Quel devrait être le combat et la lutte opportune ? Ce sont là autant de questions que nous ne cesserons de nous poser mais également des pistes pertinentes de réflexions, de recherches et d’analyses à approfondir pouvant conduire certainement à une révision progressive de nos mentalités, à la façon de conduire nos propres affaires et de nous conduire sur cette voie étriquée, délicate, glissante, intransigeante qui conduit vers le développement. De 1960 à nos jours que pouvons nous retenir ? Si ce n’est l’implacable constat d’une Afrique en passe de devenir un véritable labyrinthe de malheurs si nous n’y prenons garde. Que pouvons-nous retenir ? Si ce n’est le constat amer d’une Afrique qui accuse sans cesse mais qui jamais ne s’accuse et de surcroît ne se remet jamais en cause. Les guerres se multiplient, la famine sévit, les maladies, les pandémies et autres épidémies font de l’Afrique leur nid privilégié, le chômage s’accentue pendant que nous faisons le tour du monde à la recherche d’un mouchoir qui essuierait nos larmes. Hélas, ce mouchoir après lequel nous courons si nous le trouvons ne suffira jamais pour essuyer et sécher nos larmes si abondantes si nous-mêmes ne nous interrogeons pas sur les causes réelles des guerres fratricides et autres misères qui jalonnent notre continent. Ces causes aussi paradoxales que cela puisse paraître sont d’ordre économique. Le véritable problème de l’Afrique relève de la pauvreté. Toutes autres causes souvent indexées ne sont que superficielles et servant de vernis au véritable problème de notre continent. Il suffit de regarder sincèrement en nous et autour de nous pour le comprendre. Il suffit de lire dans les souffrances du paysan, dans les cris de l’enfant, à travers les larmes de la femme et dans les incertitudes de l’étudiant pour comprendre que le véritable problème de l’Afrique, c’est la pauvreté. Oui la pauvreté, mère de tous les vices car elle fait déteindre sa laideur sur les esprits individuels qui une fois en collectivité laissent se développer en eux cette haine engendré par une vie transformée en survie. Comme dirait SHAKESPEARE « to be and not to be » C’est-à-dire être et ne pas être. Oui nombreux sont les africains qui sont sans être vraiment. Cependant quand on est sans être vraiment, quand on traverse l’existence telle une feuille morte jetée dans le vent, quelle valeur peut avoir la vie humaine à nos yeux ? Quelle valeur peut avoir l’être humain ? A ce stade de la vie, pauvres, indigents, miséreux et misérables comme nous les africains l’avons toujours été ; il est facile d’ôter la vie et de se faire ôter la vie. En un mot, il est facile de se faire la guerre ou de faire la guerre car en vérité c’est une vaine espérance que d’attendre la vertu là où sévissent misères et désolations. Observons tous donc la prison où notre chère Afrique est tenue en captivité. Pour se défaire de ces chaînes aujourd’hui elle doit comprendre et surtout maîtriser les paramètres que lui impose le nouveau millénaire en tirant des leçons du passé. C’est une lutte à mener, c’est un combat à gagner. D’ailleurs, c’est pourquoi, le C.I.R.E.A s’est donné pour devise : ensemble pour une Afrique digne unie et prospère. Honorables invités, mesdames, messieurs, ceci est un message pour toute l’Afrique et un message lancé à tous les amis de l’Afrique. Aujourd’hui nous devons aller à l’essentiel et l’essentiel pour nous, c’est d’aller jusqu’aux extrémités des campements porter ce message d’espoir. Ce message qui invite l’africain à sortir de la misère par le mérite et sa propre intelligence. Pour ce faire, le C.I.R.E.A s’est doté d’une organisation qui le rend accessible à tous ceux qui, comme nous croient que la puissance économique peut-être une réalité africaine. Nous vous invitons s’il vous plaît à faire avec nous cet examen de conscience pour voir et comprendre que par delà nos divergences et différences apparentes, il y a quelque chose de grand, de beau, de merveilleux à réaliser. L’heure est donc venue pour que l’Afrique entame son auto-libération, pour que la jeunesse, l’avenir et l’espoir de demain puisse croire en des lendemains meilleurs. Seule l’addition de nos efforts respectifs à comprendre et à nous adapter à cet esprit, nous permettra sans aucun doute de sortir du sous développement. Sortons des rues, sortons des fronts, rejoignez-nous dans le C.I.R.E.A car plus le C.I.R.E.A sera grand et davantage la pauvreté reculera. Tous ensemble pour une Afrique unie, c’est dans l’union que nous bâtirons aujourd’hui l’Afrique de demain. Tous ensemble pour une Afrique digne, halte à la perpétuelle lamentation, halte à la mendicité légendaire. Tous ensemble pour une Afrique prospère, car unis et vêtus de dignité nous ne pouvons que mettre nos intelligences au service de notre continent pour un développement harmonieux et durable. Certes, d’aucuns diront, des africains y compris que cette mission est un rêve. Mais si c’en était un, donnons-nous la volonté nécessaire et toute la détermination qu’il faut pour que ce rêve devienne réalité car il y va du progrès pour tous et du bonheur pour chacun. A tous ceux qui aiment l’homme et qui respectent la vie humaine, à tous ceux qui aiment l’Afrique et qui croient en son développement, nous tendons la main pour que vive le C.I.R.E.A et qu’ensemble nous construisions une Afrique digne, unie et prospère. A ce stade de mon propos, je voudrais lancer du haut de cette tribune un appel à la classe politique africaine en général et ivoirienne en particulier pour faire de ce noble métier qu’est la politique l’art de rendre heureuse l’Afrique. C’est-à-dire mener le bon combat, le combat juste, celui qui libère l’Afrique et la propulse vers des avancées notables et positives. A la jeunesse africaine en général et ivoirienne en particulier, nous demandons un sens patriotique élevé et une conscience économique à toute épreuve ; car nous ne cesserons de le répéter c’est une vaine espérance que d’attendre la vertu là où sévissent misères et désolations. A la femme africaine en général et ivoirienne en particulier, nous disons que la lutte nécessaire et opportune qui vous interpelle aujourd’hui est celle qui libérera l’Afrique de la misère, de la désolation, des guerres fratricides pour une conscience économique certaine. C’est cette lutte engagée aux côtés des hommes partout où il y a le bon combat, le combat juste et nécessaire pour l’avancée de l’Afrique. Chères sœurs, chères mères et chères épouses, aujourd’hui plus que jamais, nous vous prions de mettre en éveil votre conscience maternelle et économique pour aider l’Afrique à aller de l’avant. Excellences, Messieurs les Ambassadeurs, nous vous prions de bien vouloir transmettre à nos frères nos salutations distinguées et que très bientôt avec votre bénédiction s’il vous plaît Excellences, nous foulerons le sol de vos différents pays pour porter ce message d’espoir afin qu’ensemble nous construisions aujourd’hui l’Afrique de demain, c’est-à-dire digne, unie et prospère. Il est grand temps pour une reconversion de nos mentalités car agir autrement c’est laisser porte ouverte à l’illusion, à d’autres formes d’esclavage des peuples Africains. L’Afrique n’a que trop souffert, il est temps d’agir pour sauver notre mère patrie et de surcroît considérée comme berceau de l’humanité. Une Afrique à genoux qui prie sans cesse. Une Afrique dont les larmes coulent constamment cependant. Une Afrique qui à force de prier les yeux fermés n’a même plus le temps et les moyens de sauvegarder la moindre nécessité vitale et meurt de faim. Pauvre Afrique, ton salut, s’il doit passer par la prière demeure avant tout une nette prise de conscience de l’homme noir, dans sa capacité à comprendre et à prendre des initiatives positives en toute responsabilité pour son plein épanouissement. Ton salut, s’il doit passer par la prière sera dans la méditation sereine à la lueur de ta propre conscience que Dieu le Tout-Puissant te révèlera les causes des maux qui te rongent et leurs solutions aussi. Personne mieux que toi-même ne peut y remédier. Aide-toi et ciel t’aidera a-t-on dit ; mais aussi, l’homme qui a faim n’est pas un homme libre a dit un sage de l’Afrique. Ensemble donc pour la création des richesses, pour la conquête d’un pouvoir d’achat toujours plus fort et pour un développement durable. Frantz FANON, psychologue martiniquais ne disait-il pas et je cite « chaque génération doit découvrir sa mission, l’accomplir ou la trahir.» Faisons en sorte de ne pas trahir la nôtre. Car comme l’annonçait très tôt cet autre sage : « l’Afrique écrira sa propre histoire et elle sera au Nord et au Sud du Sahara, une histoire de gloire et de dignité. » La puissance économique doit être aussi une réalité africaine. Ensemble donc pour une Afrique, digne, unie et prospère. Ensemble pour une Côte d’Ivoire réconciliée, digne, unie et prospère. Je vous remercie.




08/01/2008 14:07



 

Excellences Messieurs les Ambassadeurs,

Honorables invités, tout rang et tout ordre respectés et honorés,

Mesdames, Messieurs,

Chers frères du C.I.R.E.A,

A toutes et à tous,

 

Par ma voix le C.I.R.E.A vous souhaite la bienvenue.

Au nom du C.I.R.E.A et en mon nom personnel, je voudrais vous dire merci, d’avoir accepté d’effectuer le déplacement pour honorer de votre présence effective, cette cérémonie.

Permettez-moi honorables invités de ne pas faillir à ce devoir de dire merci à l’initiateur du dialogue direct qui nous permet aujourd’hui de procéder au lancement officiel de nos activités.

Excellence, Monsieur le Président votre modestie dusse en souffrir, je voudrais saluer à sa juste valeur l’acte historique et hautement salutaire que vous venez de poser à travers le dialogue direct, acte de courage et d’homme d’Etat averti certes, mais surtout acte d’abnégation, de don de soi et d’esprit de sacrifice qui privilégie en toute circonstance le bonheur de son peuple.

Le C.I.R.E.A groupement d’intérêt économique dont les activités ne peuvent prospérer qu’en période de paix par ma voix vous dit infiniment merci.

J’associe à ces remerciements Monsieur le Premier Ministre qui a bien voulu accepter le dialogue à lui proposer par Monsieur le Chef de l’Etat.

Merci à tous ceux qui de loin ou de près ont permis à ce dialogue d’aboutir, à savoir son Excellence, Monsieur Blaise COMPAORE Président du Burkina Faso, ainsi qu’à la communauté internationale dont la présence à nos côtés a été durant ces moments difficiles, un élément catalyseur de la paix.

Je voudrais également associer à ces remerciements Messieurs les Ambassadeurs et toutes les éminentes personnalités qui, malgré les lourdes tâches qui sont les leurs ont accepté d’effectuer le déplacement de ce jour pour voir, entendre et partager avec nous cet espoir d’une Côte d’Ivoire nouvelle que dis-je d’une Afrique nouvelle c’est-à-dire digne, unie et prospère.

Depuis la nuit des temps coloniaux, l’Afrique souffre. Toutes les théories politiques ou philosophies religieuses tendant à apaiser nos souffrances ne suffiront jamais à créer les conditions idéales de vie si elles n’aboutissent pas à un pragmatisme nécessaire et inévitable inhérent à nos réalités quotidiennes.

Hier, l’Afrique a acquis son indépendance au prix de mille efforts dans la douleur et la violence.

Aujourd’hui plusieurs décennies après nos indépendances nous nous trouvons face à des répressions violentes, des tueries, des guerres fratricides. L’Afrique est constamment dans la tourmente, dans la douleur, la souffrance, la misère et la désolation.

De 1960 à nos jours que pouvons-nous retenir de notre chère Afrique.

Est-ce une erreur de choix pour sortir l’Afrique du sous développement ?

N’avons-nous pas la maturité requise pour conduire nos propres affaires ?

Sommes-nous nos propres bourreaux ? Ou d’innocentes victimes tout simplement ?

Que faut-il faire pour sortir de cette léthargie ?

Est-ce réellement impossible de refuser cet afropéssimisme  qui nous détruit et représente un véritable danger ?

Que devons-nous faire aujourd’hui ? Quel devrait être le combat et la lutte opportune ?

Ce sont là autant de questions que nous ne cesserons de nous poser mais également des pistes pertinentes de réflexions, de recherches et d’analyses à approfondir pouvant conduire certainement à une révision progressive de nos mentalités, à la façon de conduire nos propres affaires et de nous conduire sur cette voie étriquée, délicate, glissante, intransigeante qui conduit vers le développement.

De 1960 à nos jours que pouvons nous retenir ? Si ce n’est l’implacable constat d’une Afrique  en passe de devenir un véritable labyrinthe de malheurs si nous n’y prenons garde. Que pouvons-nous retenir ? Si ce n’est le constat amer d’une Afrique qui accuse sans cesse mais qui jamais ne s’accuse et de surcroît ne se remet jamais en cause.

Les guerres se multiplient, la famine sévit, les maladies, les pandémies et autres épidémies font de l’Afrique leur nid privilégié, le chômage s’accentue pendant que nous faisons le tour du monde à la recherche d’un mouchoir qui essuierait nos larmes. Hélas, ce mouchoir après lequel nous courons si nous le trouvons ne suffira jamais pour essuyer et sécher nos larmes si abondantes si nous-mêmes ne nous interrogeons pas sur les causes réelles des guerres fratricides et autres misères qui jalonnent notre continent.

Ces causes aussi paradoxales que cela puisse paraître sont d’ordre économique. Le véritable problème de l’Afrique relève de la pauvreté. Toutes autres causes souvent indexées ne sont que superficielles et servant de vernis au véritable problème de notre continent.

Il suffit de regarder sincèrement en nous et autour de nous pour le comprendre. Il suffit de lire dans les souffrances du paysan, dans les cris de l’enfant, à travers les larmes de la femme et dans les incertitudes de l’étudiant pour comprendre que le véritable problème de l’Afrique, c’est la pauvreté. Oui la pauvreté, mère de tous les vices car elle fait déteindre sa laideur sur les esprits individuels qui une fois en collectivité laissent se développer en eux cette haine engendré par une vie transformée en survie. Comme dirait SHAKESPEARE « to be and not to be » C’est-à-dire être et ne pas être.

Oui nombreux sont les africains qui sont sans être vraiment. Cependant quand on est sans être vraiment, quand on traverse l’existence telle une feuille morte jetée dans le vent, quelle valeur peut avoir la vie humaine à nos yeux ? Quelle valeur peut avoir l’être humain ?

A ce stade de la vie, pauvres, indigents, miséreux et misérables comme nous les africains l’avons toujours été ; il est facile d’ôter la vie et de se faire ôter la vie.

En un mot, il est facile de se faire la guerre ou de faire la guerre car en vérité c’est une vaine espérance que d’attendre la vertu là où sévissent misères et désolations.

Observons tous donc la prison où notre chère Afrique est tenue en captivité. Pour se défaire de ces chaînes aujourd’hui elle doit comprendre et surtout maîtriser les paramètres que lui impose le nouveau millénaire en tirant des leçons du passé. C’est une lutte à mener, c’est un combat à gagner. D’ailleurs, c’est pourquoi, le C.I.R.E.A s’est donné pour devise : ensemble pour une Afrique digne unie et prospère.

Honorables invités, mesdames, messieurs, ceci est un message pour toute l’Afrique et un message lancé à tous les amis de l’Afrique. Aujourd’hui nous devons aller à l’essentiel et l’essentiel pour nous, c’est d’aller jusqu’aux extrémités des campements porter ce message d’espoir. Ce message qui invite l’africain à sortir de la misère par le mérite et sa propre intelligence. Pour ce faire, le C.I.R.E.A s’est doté d’une organisation qui le rend accessible à tous ceux qui, comme nous croient que la puissance économique peut-être une réalité africaine.

Nous vous invitons s’il vous plaît à faire avec nous cet examen de conscience pour voir et comprendre que par delà nos divergences et différences apparentes, il y a quelque chose de grand, de beau, de merveilleux à réaliser.

L’heure est donc venue pour que l’Afrique entame son auto-libération, pour que la jeunesse, l’avenir et l’espoir de demain puisse croire en des lendemains meilleurs. Seule l’addition de nos efforts respectifs à comprendre et à nous adapter à cet esprit, nous permettra sans aucun doute de sortir du sous développement.

Sortons des rues, sortons des fronts, rejoignez-nous dans le C.I.R.E.A car plus le C.I.R.E.A sera grand et davantage la pauvreté reculera.

Tous ensemble pour une Afrique unie, c’est dans l’union que nous bâtirons aujourd’hui l’Afrique de demain.

Tous ensemble pour une Afrique digne, halte à la perpétuelle lamentation, halte à la mendicité légendaire.

Tous ensemble pour une Afrique prospère, car unis et vêtus  de dignité nous ne pouvons que mettre nos intelligences au service de notre continent pour un développement harmonieux et durable.

Certes, d’aucuns diront, des africains y compris que cette mission est un rêve. Mais si c’en était un, donnons-nous la volonté nécessaire et toute la détermination qu’il faut pour que ce rêve devienne réalité car il y va du progrès pour tous et du bonheur pour chacun.

A tous ceux qui aiment l’homme et qui respectent la vie humaine, à tous ceux qui aiment l’Afrique et qui croient en son développement, nous tendons la main pour que vive le C.I.R.E.A et qu’ensemble nous construisions une Afrique digne, unie et prospère.

A ce stade de mon propos, je voudrais lancer du haut de cette tribune un appel à la classe politique africaine en général et ivoirienne en particulier pour faire de ce noble métier qu’est la politique l’art de rendre heureuse l’Afrique. C’est-à-dire mener le bon combat, le combat juste, celui qui libère l’Afrique et la propulse vers des avancées notables et positives.

A la jeunesse africaine en général et ivoirienne en particulier, nous demandons un sens patriotique élevé et une conscience économique à toute épreuve ; car nous ne cesserons de le répéter c’est une vaine espérance que d’attendre la vertu là où sévissent misères et désolations.

A la femme africaine en général et ivoirienne en particulier, nous disons que la lutte nécessaire et opportune qui vous interpelle aujourd’hui est celle qui libérera l’Afrique de la misère, de la désolation, des guerres fratricides pour une conscience économique certaine. C’est cette lutte engagée aux côtés des hommes partout où il y a le bon combat, le combat juste et nécessaire pour l’avancée de l’Afrique. Chères sœurs, chères mères et chères épouses, aujourd’hui plus que jamais, nous vous prions de mettre en éveil votre conscience maternelle et économique pour aider l’Afrique à aller de l’avant.

Excellences, Messieurs les Ambassadeurs, nous vous prions de bien vouloir transmettre à nos frères nos salutations distinguées et que très bientôt avec votre bénédiction s’il vous plaît Excellences, nous foulerons le sol de vos différents pays pour porter ce message d’espoir afin qu’ensemble nous construisions aujourd’hui l’Afrique de demain, c’est-à-dire digne, unie et prospère.

Il est grand temps pour une reconversion de nos mentalités car agir autrement c’est laisser porte ouverte à l’illusion, à d’autres formes d’esclavage des peuples Africains.

L’Afrique n’a que trop souffert, il est temps d’agir pour sauver notre mère patrie et de surcroît considérée comme berceau de l’humanité.

Une Afrique à genoux qui prie sans cesse.

Une Afrique dont les larmes coulent constamment cependant. Une Afrique qui à force de prier les yeux fermés n’a même plus le temps et les moyens de sauvegarder la moindre nécessité vitale et meurt de faim.

Pauvre Afrique, ton salut, s’il doit passer par la prière demeure avant tout une nette prise de conscience de l’homme noir, dans sa capacité à comprendre et à prendre des initiatives positives en toute responsabilité pour son plein épanouissement.

Ton salut, s’il doit passer par la prière sera dans la méditation sereine à la lueur de ta propre conscience que Dieu le Tout-Puissant te révèlera les causes des maux qui te rongent et leurs solutions aussi.

Personne mieux que toi-même ne peut y remédier. Aide-toi et ciel t’aidera a-t-on dit ; mais aussi, l’homme qui a faim n’est pas un homme libre a dit un sage de l’Afrique. Ensemble donc pour la création des richesses, pour la conquête d’un pouvoir d’achat toujours plus fort et pour un développement durable. Frantz FANON, psychologue martiniquais ne disait-il pas et je cite « chaque génération doit découvrir sa mission, l’accomplir ou la trahir Faisons en sorte de ne pas trahir la nôtre.

Car comme l’annonçait très tôt cet autre sage : « l’Afrique écrira sa propre histoire et elle sera au Nord et au Sud du Sahara, une histoire de gloire et de dignité. »

La puissance économique doit être aussi une réalité africaine.

Ensemble donc pour une Afrique, digne, unie et prospère.

Ensemble pour une Côte d’Ivoire réconciliée, digne, unie et prospère.

 

 

Je vous remercie.

 


 

 


 






Discours du Sécrétaire Général de la Coordination National du C.I.R.E.A pour la République de COTE D'IVOIRE

28/12/2007 14:33

Discours du Sécrétaire Général de la Coordination National du C.I.R.E.A pour la République de COTE D'IVOIRE


        Depuis un an déjà nous nous faisons le plaisir en tant que jeune ivoiriens et africains de partager la vision d'un homme, d'un père, d'un économiste jusqu'ici méconnu mais grand par l'esprit et dans l'âme et surtout par l'idéologie qu'il entend faire partager à un continent qui croupit sous le poids de maux incommensurables.  
 
         Aujourd'hui et même demain encore, nous nous ferons toujours le plaisir d'être non seulement des disciples mais aussi et surtout d'être des alliés de ce grand homme qui a fai  le diagnostic juste du mal dont souffre l'Afrique depuis des décennies.
        
       Alors que nous nous éreintions, maladroitement d'ailleurs, à faire  sortir notre patrie l'Afrique du gouffre où elle descend, cet homme nous a montré le droit chemin; le chemin d'une paix  véritable et durable  sur tout le continent.
 
          Pour aller en guerre contre les guerres fratricides en Afrique nous dira-t-il 
« il faut  que les africains se munissent de cette arme économique qui au lieu de  supprimer des vies humaines génère des richesses en accentuant le bien-être
 de chacun dans un processus de progrès pour tous et  du bonheur de chacun.
 
         La pratique de l'économie doit être désormais la  priorité  des  priorités, le leitmotiv de tous les africains ». Tel est l'enseignement reçu et la mission à  nous confier par le fondateur du C.I.R.E.A à, qui nous ne cesserons  de rendre
un hommage.
 
         Aujourd'ui nous sommes très heureux d'appartenir  au C.I.R.E.A qui est pour nous un nouvel aurore qui se lève sur toute l'Afrique. Aussi espérons-nous que dans les jours à venir notre cercle s'agrandira pour rassembler tous les fils et toutes les filles de Côte d'Ivoire, tous les fils et toutes les filles d'Afrique pour qu'ensemble nous africains parlons au reste du  monde en terme de collaboration et de partenariat .
 
        C'est une mission bien difficile nous le savons, mais nous savons aussi que toute difficulté  est une  facilité à venir. Par ailleurs nous voudrions compter sur la compréhension de tous nos frères et sur la volonté de chaque africain à changer de mentalité, à faire de la politique un art de rendre  heureux l'Afrique avec pour socle rigide l'économie.
 
         Nous invitons par conséquent , chacun à croire en l'émergence d'une Afrique  nouvelle, c'est-à-dire d'une Afrique digne,unie et  prospèr Le C.I.R.E.A est l'affaire de tous les africains  et de tous ceux qui ont foi en un lendmain meilleur l ' Afrique                                                          
 
         Rejoignez-nous dans cette vision nouvelle pour qu'ensemble nous construisons aujourd'hui la Côte d'Ivoire de demain digne, unie et prospère,
 pour qu'ensmble nous  construisons l'Afrique de demain digne, unie et prospère.
 
           Merci d'avoir répondu nombreux à cet appel témoigné par votre présence massive en qualité et en quantité, merci de votre attention soutenue, merci de l'intérêt que vous porté au C.I.R.E.A
 
                 Que Dieu bénisse la Côte d'Ivoire, que Dieu bénisse l'Afrique, pour que vive le C.I.R.E.A dans une Côte d'Ivoire digne, unie et prospère, dans Afrique digne, unie et  prospère.
                  
                      Je vous remercie
  Le Secrétaire Général de la Coordination
     Pour la République de Côte d'Ivoire
                                                                            
                      Dotroh  A  Roger
 
 
            Pour la journée du  lancement qui s'est tenue le 23 Juin 2007
                                 à là blibliotèque Nationale d' Abidjan
 
 





Une Hymne pour le CIREA

27/12/2007 17:37

Une Hymne pour le CIREA


Peuple d'Afrique, débout !
Débout, l'Afrique notre mère patrie se meurt .
Débout, pour sa survie, l'Afrique nous interpelle ! Rejoignez-nous !
Ensemble, construisons une Afrique : Harmonieuse et digne.
Ensemble, bâtissons une Afrique : Libre et prospère.
Ensemble, loin de la pauvreté,
                     loin de la misère
                     loin des fratricides guerres,
                     cultivons la loi de l'existence
                     cultivons la loi de l'amour
                     cultivons la loi du pardon
                     cultivons la loi de la solidarité
                     cultivons la loi de la fraternité
Ensemble, constribuons à l'avancée de l'humanité.   
Ensemble, contribuons à l'avancée de notre mère patrie, l'Afrique !
Moi, membre du C.I.R.E.A, ma passion est d'oeuvrer sans relâhe  
pour que la puissance économique devienne une réalité africaine.
Ma contribution aussi modeste soit-elle est de me convaincre
chaque jour que l'homme peut changer et évoluer positivement.
Je n'ai ni la voix qu'il faut, enore moins le pouvoir approprié.
Mais j'ai mon esprit et mon coeur à ouvrir à mes semblables, pour
qu'ensemble nous sentions venir l'apocalypse négative.
J'ai ma petite voix pour crier das un désert déjà assez vide;
Mais je refuse de savoir que personne ne m'entendra.
J'ai foi en l'homme et en son Créateur.
Je sais que demain, ce désert sera verdoyant, et la sécheresse
des coeurs fera place à une source infinie d'amour à laquelle tous
viendrons s'abreuver ; 
Et l'humaité alors de crier mains dans la main
                  Vive la fraternité,        
                  Vive le village planétaire,
                  Vive le paradis d'éternité en éternité,
                  Pour que vive une Afrique digne, uine et prospère.
C'est ce qui me fait bouger, c'est cela l'unique objet de mon
ressentiment et en même temps mon souhait, ma contribution et  
celle du C.I.R.E.A ;
                    Prêt pour la vie !
                    Prêt pour l'amour !
                    Prêt pour la solidarité !
                    Prêt pour un pour un développement durable en Afrique !
                                                                                                                 





Tous pour une seule et bonne cause

27/12/2007 13:26

Tous pour une seule et bonne cause


."Lutter contre la pauvreté est louable mais créer des richesses est salutaire.''

" La conscience économique doit être"  le commencement même de la sagesse politique en Afrique"

" Une Afrique  C.I.R.E.A  c'est une  Afrique sans désolation, sans misère, sans guerres fratricides."

"Tous ce qui est violent tue, d'une manière ou d'une autre. C'est pourquoi la violence sous toutes ses formes doit être extirper  de l'Afrique ."

"Chaque être humain doit vivre, faire vivre et prôner la vie. Il doit surtout contribuer à son existence à quelque niveau qu'il se situe."

"Il faut s'aimer pour vivre et vivre pour s'aimer, telle est  notre mission et notre devoir d'homme; car il n' y a pas de vie sans amour et sans vie il n' y a pas d'amour."

"Pardonner et accepter le pardon, c'est se libérer chaque jour pour tendre vers l'amour, l'équilibre, le bonheur, la sagesse et  le paradis."

"Solidarité et fraternité vont de pair, il n' y a pas de solidarité sans fraternité et vice versa."   






QU'EST-CE QUE LE C.I.R.E.A?

26/12/2007 11:20

QU'EST-CE QUE LE C.I.R.E.A?


Le Cercle International de Relance Economique d'Afrique (C.I.R.E.A) est un groupement d'intérêt  économique  qui proclame son attachement aux idéaux de création des richesses, de progrès social, de solidarité, de justice et de paix en vue de promouvoir la relance économique au niveau du continent africain.

Le C.I.R.E.A rassemble en une seule union  volontaire tous les non violents épris de paix et de justice engagés contre toute forme de pauvreté, de chômage et de domination.

Le C.I.R.E.A  est un esprit , une idéologie, un moyen de lutte pour l'éveil de la conscience économique en Afrique.






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